Quand Balzac ou Jane Austen écrivent leurs romans, au début du XIXe siècle, la nature des patrimoines en jeu est a priori relativement claire pour tout le monde. Le patrimoine semble être là pour produire des rentes, c’est-à-dire des revenus sûrs et réguliers pour son détenteur, et pour cela il prend notamment la forme de propriétés terriennes et de titres de dette publique. Le père Goriot possède des rentes sur l’État, et le petit domaine des Rastignac est constitué de terres agricoles. Il en va de même de l’immense domaine de Norland dont hérite John Dashwood dans Le Cœur et la Raison (Sense and Sensibility), et dont il ne va pas tarder à expulser ses demi-sœurs, Elinor et Marianne, qui devront alors se contenter des intérêts produits par le petit capital laissé par leur père sous forme de rentes sur l’État. Dans le roman classique du XIXe siècle, le patrimoine est partout, et quels que soient sa taille et son détenteur il prend le plus souvent ces deux formes : terres ou dette publique.

Godt sagt! (1) Varsle Svar

Sist sett

Elin FjellheimBjørn SturødTine SundalHanne Kvernmo RyeConnieMathiasGeir SundetKirsten LundBente NogvaDressmyshelfEster SSynnøve H HoelNicolai Alexander StyveLailaReidun SvensliVannflaskeFride LindsethKaramasov11Akima MontgomeryGitte FurusethBjørg Marit TinholtPi_MesonJoannAjiniakraToveGrete AastorpgretemorPiippokattaEgil StangelandTonje-Elisabeth StørkersenLilleviingar hBookiacRandiAEivind  VaksvikOleEvaKaren PatriciaFrisk NordvestEli Hagelund